
La semaine de 4 jours : un buzz à tempérer
Article
Contient :
12 pages ; n° 14
Suite à plusieurs expérimentations d'ampleur menées aux États-Unis, en Irlande et au Royaume-Uni, la semaine de quatre jours séduit de plus en plus d’entreprises en quête d’attractivité. Si elle suscite l’engouement des salariés et des employeurs qui l’ont testée, elle renvoie à des réalités variées dont les effets sont à tempérer en termes de rythme et d’intensité du travail, de QVT, d’égalité, d’impact environnemental ou encore de productivité.
Contient :
12 pages ; n° 14
Sujet :
EXPERIMENTATION, AMENAGEMENT DU TEMPS DE TRAVAIL, INTENSIFICATION DU TRAVAIL, EGALITE PROFESSIONNELLE, ARTICULATION DES TEMPS, REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL, POLITIQUE PUBLIQUE, QUALITE DE VIE AU TRAVAIL, SATISFACTION AU TRAVAIL, PERFORMANCE HUMAINE, CONTRAINTE DE TEMPS, DUREE DU TRAVAIL, FLEXIBILITE DU TEMPS DE TRAVAIL
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