
Entre l’idéal du bien-être au travail et la stigmatisation de la fragilité psychique, la place du travail et de ses effets sur la santé mentale paraît bien s’effacer. Reste la récurrence des formes d’expression de la « souffrance au travail » : surcharge, sous-emploi, individualisation… Cette récurrence témoigne de la montée du mal-être au travail et des nouvelles pathologies qui l’accompagnent.
Contient :
p. 43-55
Sujet :